Agnès Clément

Premier Prix du Concours International de Musique de l’ARD à Munich (2016)
Premier Prix du USA International Harp Competition, Bloomington (2010)
Prix Gisèle Tissier-Grandpierre de l’Institut de France (2010)

PROGRAMME

Les Fruits de la Passion

Elias PARISH-ALVARS (1808-1849)
Introduction et Variations sur le thème de la « Norma » de Vincenco Bellini

Franz LISZT (1811-1886)
Liebestraum n°3

Oiseaux :

François COUPERIN (1668-1733)
Rossignol en Amour, Rossignol Vainqueur (Pièces de Clavecin, Troisième Livre)

Jean-Philippe RAMEAU (1683-1764)
Le Rappel des oiseaux (Pièces de Clavecin, 1724)

Louis-Claude DAQUIN (1694-1772)
Le Coucou (Pièces de clavecin, Troisième Livre)

Claude DEBUSSY (1862-1918)
Deux Arabesques

François COUPERIN (1668-1733) :
Les Folies Françaises ou les Dominos (Pièces de Clavecin, Troisième Livre)
La Virginité, La Pudeur, L’Ardeur, L’Espérance, La Fidélité, La Persévérance, La Langueur, La Coquetterie, Les Vieux Galants et les Trésorières Surannées, Les Coucous Bénévoles, La Jalousie Taciturne, La Frénésie ou le Désespoir

Franz LISZT (1811-1886)
Consolation Nr. 3 Des-Dur

Wilhelm POSSE (1852-1925)
Variations sur le Carnaval de Venise

BIOGRAPHIE:

Agnès Clément
En septembre 2016, Agnès Clément remporte le Premier Prix du Concours International de Musique de l’ARD à Munich, ainsi que le Prix du public, et le Prix de la meilleure interprétation de l’œuvre contemporaine (Meyer).
Harpiste française née en 1990, Agnès Clément a fait ses études de harpe et de basson aux Conservatoires de Clermont Ferrand et de Boulogne Billancourt avant de se perfectionner auprès de Fabrice Pierre dans la classe de harpe du Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon, où elle obtient à 22 ans la plus haute distinction. Elle y a également suivi des cours de basson allemand avec Carlo Colombo et Jean Pignoly.
En Juillet 2010, Agnès Clément remporte le Premier Prix du prestigieux USA International Harp Competition, à Bloomington. Elle a également remporté plusieurs autres concours, tel que le Prix Gisèle Tissier-Grandpierre de l’Institut de France, le deuxième prix du Concours International Valentino Bucchi à Rome, le troisième prix du Concours International de Harpe Lily Laskine à Paris.
Depuis ses débuts comme soliste à la Salle Gaveau à Paris, à la Philharmonie de Berlin et au Lyon & Healy Concert Hall à Chicago, elle est régulièrement invitée à se produire en concerto sur la scène internationale avec des orchestres tels le Symphoniorchester des Bayerischen Rundfunks (Orchestre de la Radio Bavaroise) et le Münschener Kammerorchester, l’Orchestre National de Colombie, le Radio-Sinfonieorchester Stuttgart des SWR, l’Orchestre Victor Hugo France-Comté, l’Orchestre d’Auvergne, l’Orchestre de la Garde Républicaine, l’Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe, l’Orchestre de L’Opéra de Rouen, le Nuremberg Symphony Orchestra, le Neue Philharmonie Westfalen Orchestra, le Georgischen Kammerorchester, l’Orchestre Philharmonique du Hunan (Chine), le Deutsches Sinfonieorchester ainsi que l’Orchestre de La Monnaie.
Elle a également été invitée sur les ondes pour les émissions Déclic, Jeunes Interprètes, Dans la Cour des Grands de France Musique, ainsi que sur Music’3 et Klara en Belgique, en Allemagne sur SWR 2, BR-Klassik, Deutschland Radio Kultur, Deutschlandfunk etc.
Depuis 2013, Agnès Clément est harpe solo au sein de l’orchestre de l’Opéra Royal de la Monnaie à Bruxelles.
En 2012, elle a enregistré Dance, son premier CD pour harpe solo avec le Label Lyon & Healy records, et son prochain CD soliste paraîtra en 2019 avec le label Genuin Classics.

Bach-Busoni – ChaconneMahler – Adagietto de la 5^ème Symphonie – Menuetto de la 3^ème Symphonie

Liszt – Dante

BIOGRAPHIE

La pianiste suisse Beatrice Berrut s’est forgé une solide réputation de lisztienne, comme en attestent ces lignes du journal Le Monde : « Le programme est un condensé de la galaxie lisztienne et la pianiste une incarnation des principales figures de l’Olympe. De la Diane chasseresse qui ne rate aucune cible expressive avec son arc Bösendorfer au Mercure insaisissable qui s’élève de doigts virtuoses. »
Son dernier album, consacré à l’œuvre pour piano et orchestre de Liszt, enregistré avec le Czech National Symphony Orchestra sous la direction de Julien Masmondet, est son second hommage au compositeur hongrois, et il a été acclamé par la critique internationale.
Artiste aux multiples facettes, Beatrice Berrut s’adonne à la transcription d’œuvres symphoniques pour le piano, et écrit sa musique, ce qui lui permet de parcourir les scènes et les festivals avec des programmes de récitals originaux et inédits.
Durant la saison 2018/2019, elle fera entre autres ses débuts avec l’orchestre du Saarländisches Theater de Saarbruck sous la direction de Sébastien Rouland, ainsi qu’au Printemps des Arts de Monte Carlo, au Festival Liszt de Raiding (A) ou aux réputées International Piano Series de Fribourg (CH).
Beatrice Berrut est régulièrement invitée comme soliste par des orchestres tels que la Philharmonie de Dortmund, l’Orchestre National des Pays de la Loire, le North Czech Philharmonic Orchestra, la Staatskapelle de Meiningen, l’orchestre Philharmonie de Cracovie pour n’en citer que quelques-uns, et elle s’est produite dans des salles telles que la Philharmonie de Berlin, le Konzerthaus de Dortmund, le Wigmore Hall de Londres (où elle sera à nouveau en récital en 2020), le Tianjin National Theatre, le Preston Bradley Hall de Ravinia ou le Teatro Coliseo de Buenos Aires.

PROGRAMME:
Beethoven – Sonate pour violoncelle et piano n.1
Schumann – Fantasiestücke op. 73
Rachmaninov – Sonate pour violoncelle et piano

BIOGRAPHIES:

Victor Julien-Laferrière
Né à Paris en 1990, Victor Julien-Laferrière débute le violoncelle avec René Benedetti, puis étudie successivement avec Roland Pidoux au Conservatoire de Paris, Heinrich Schiff à l’Université de Vienne et Clemens Hagen au Mozarteum de Salzbourg. Parallèlement, il prend part de 2005 à 2011 à l’International Music Academy Switzerland de Seiji Ozawa.
En 2017, il remporte le 1^er Prix du Concours Reine Elisabeth à Bruxelles, après avoir remporté le 1^er Prix ainsi que les deux prix spéciaux au Concours International du Printemps de Prague 2012.
Il est l’invité de phalanges prestigieuses telles que l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre National de Belgique, le Brussels Philharmonic, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, I Pomeriggi Musicali à Milan, l’Orchestre de Chambre de Paris, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre de Cannes, le State Hermitage Orchestra de St Pétersbourg, l’Orchestre National d’Ile de France, le Slovak State Philharmonic Orchestra ainsi qu’avec le Czech Chamber Orchestra Pardubice, Pilsen Radio Philharmonic Orchestra, ou encore le Bogota Philharmonic.
Il est par ailleurs l’invité du Concertgebouw d’Amsterdam, du Théâtre des Champs Elysées, de l’Auditorium du Louvre, du Palais des Beaux-Arts et Flagey à Bruxelles, du KKL de Lucerne, de l’Opéra de Dijon, des festivals des Sommets Musicaux de Gstaad, de Pâques d’Aix-en-Provence, Cello Biennale Amsterdam, Mecklenburg-Vorpommern, Radio France et Montpellier, Kuhmo, de Deauville, de Besançon, de l’Orangerie de Sceau, de l’Autunno Musicale di Caserta, du Printemps de Prague, Al Bustan, Ticino Musica à Lugano, des Folles Journées de Nantes et Tokyo. Il joue aux côtés d’Augustin Dumay, Renaud Capuçon, Adam Laloum, Jonas Vitaud, Raphaël Sévère, Lise Berthaud, du Quatuor Strada, etc. Il a fondé en compagnie d’Adam Laloum et Mi-Sa Yang le trio avec piano « Trio les Esprits ».
Son enregistrement consacré aux deux Sonates pour clarinette et piano et au Trio avec clarinette de Brahms (Mirare) avec le clarinettiste Raphaël Sévère et le pianiste Adam Laloum a reçu un Diapason d’or de l’Année 2015 et ffff de Télérama.
Son tout dernier disque, en sonates avec Adam Laloum paru fin 2016 a également reçu un Diapason d’or de l’Année 2017, CHOC de Classica et ffff de Télérama.
Victor Julien-Laferrière est soutenu par le Fonds Instrumental Français, est lauréat de la Fondation Groupe Banque populaire, et s’est vu décerner les Prix de la Fondation Safran pour la Musique 2013 et de la Fondation Oulmont 2012. Il a fait partie des nominés aux Victoires de la Musique Classique 2013 dans la catégorie Révélation Soliste Instrumental.

Jonas  Vitaud
Né en 1980, il commence le piano à 6 ans et l’orgue à 11 ans. Formé par Brigitte Engerer, Jean Koerner et Christian Ivaldi, il obtient au Conservatoire National Supérieur de Paris quatre premiers prix (piano, musique de chambre, accompagnement au piano, harmonie).
Lauréat de plusieurs concours internationaux tant en soliste qu’en chambriste (Lyon, ARD de Munich, Trieste, Beethoven de Vienne), Jonas Vitaud se produit dans de prestigieux festivals : Roque d’Anthéron, Lille Piano(s) Festival, Orangerie de Sceaux, Piano aux Jacobins, Pâques à Deauville, Folle journée de Nantes, Festival de la Chaise Dieu, Fêtes musicales de Nohant, Festival Chopin de Bagatelle, Richard Strauss Festival en Allemagne, Automne Musical de Caserta en Italie, iDans d’Istanbul, Summer Festival de Dubrovnik, French May à Hong Kong, Phillips collection à Washington… Il joue dans toute l’Europe mais aussi en Russie, Chine, Turquie, Japon, Etats-Unis…
Jonas Vitaud se produit avec des Orchestres comme celui de Mulhouse, Toulouse (Orchestre du Capitole et Orchestre de Chambre), l’Orchestre des Pays de Savoie, l’Orchestre Philarmonique de Moravie, l’Orchestre de la Radio de Munich, l’Orchestre Symphonique de la Radio de Prague, avec des ensembles vocaux et de musique contemporaine. Il réserve une place privilégiée pour la musique de chambre et joue avec des artistes tels Bertrand Chamayou, Sumi Hwang, Thierry Escaich, Christian-Pierre et Adrien La Marca, Adam Laloum, Victor Julien-Laferrière, le Quatuor Zaïde…
Passionné par les musiques actuelles, Jonas Vitaud a travaillé avec des maîtres de la création comme Henri Dutilleux, Thierry Escaich, György Kurtag, Philippe Hersant. Ces rencontres ont été une source décisive d’inspiration et d’épanouissement artistique.
Son premier disque solo consacré à Brahms paraît chez Orchid Classics, un album salué par la critique (Supersonic Pizzicato award, 4 * BBC Music Magazine…).
Jonas Vitaud enseigne au CNSMDP depuis 2013 (classe d’accompagnement et lecture à vue).
En 2016, Jonas Vitaud sort deux albums solos consacrés l’un à Henri Dutilleux et Franz Liszt (CHOC CLASSICA. 5 de DIAPASON, GRAND PRIX SOLISTE INSTRUMENTAL de l’Académie Charles Cros), l’autre à Tchaïkovsky avec le label Mirare – Les Saisons et la Grande Sonate opus 37, disque qui obtient 5 de Diapason.
Pour le centenaire d’Henri Dutilleux en 2016, il lui donne un grand nombre d’hommages.
Il est artiste associé à la Fondation Singer-Polignac.

PROGRAMME
Robert Schumann
Meine Rose
Requiem, 6 Gedichte von Nikolaus Genau und Requiem, op.90, Lust der Sturmnacht
Stirb lieb und Freud
Sehnsucht nach der Waldgegend
Stille Tränen
Wer machte dich so krank
Alte Laute
Zwölf Gedichte von Justinus Kerner, Op.35 n°1, 2, 5, 10, 11, 12Francis Poulenc
Je nommerai ton front, Miroirs Brûlants, FP98 (1938)
Sanglots, Banalités, FP107 (1940)
C’est ainsi que tu es, Métamorphoses, FP 121 (1943)Benjamin Britten
Tell me the truth about love
Funeral blues
Johnny
Calypso, Cabaret SongsBIOGRAPHIESAdèle  Charvet
En 2017, la jeune mezzo-soprano Adèle Charvet est lauréate du Prix d’Honneur « Yves Paternot » du festival de Verbier, honorant le musicien le plus prometteur de l’Académie du Festival. Elle sera invitée à s’y produire en 2018.
Déjà en 2015, elle remportait avec le pianiste Florian Caroubi le prix de Mélodie du Concours International Nadia et Lili Boulanger, et un an plus tard,  le grand prix de Lied Duo du 51ème Concours International ‘s-Hertogenbosch ainsi que quatre prix spéciaux : le prix Junior Jury, le prix de l’association des Amis du Lied, le prix de la meilleure interprétation de la pièce contemporaine, et enfin, le prix de la presse.
Forts de ces succès, ils se produisent en récital au Concertgebouw d’Amsterdam, au Petit Palais à Paris, au Music Festival de Schiermonnikoog aux Pays-Bas et, bientôt, au Théâtre DeSingel d’Anvers.
Très attachée à l’art de la scène, Adèle connaît ses premières expériences musicales et scéniques dans Brundibár de Hans Krása, où elle incarne le rôle de Pepíček.  Elle sera Adele dans le Pirate de Bellini, en novembre prochain à l’Opéra de Bordeaux.
En 2017, elle fait ses débuts à l’Opéra d’Amsterdam dans le rôle de la Jeune fille Polovtsienne dans le Prince Igor de Borodine, mis en scène par Dmitri Tcherniakov et dirigé par Stanislav Kochanovsky.  Elle incarne par la suite la nourrice Filippyevna, dans Eugène Onéguine de Tchaikovski, au Festival de Verbier. En août 2017, elle chante au Festival Berlioz à la Côte-Saint-André sous la baguette de Nicolas Chalvin avec l’orchestre des Pays de Savoie, aux côtés de grands solistes tels que Xavier Philips, François-Frédéric Guy et Tedi Papavrami.
En février 2018, elle fera ses débuts au Royal Opera House dans le rôle de Mercédès dans Carmen de Bizet.
Adèle est diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe d’Élène Golgevit.Florian  Caroubi
Musicien éclectique et passionné, Florian Caroubi aborde avec enthousiasme aussi bien le répertoire de piano seul que la musique de chambre, l’accompagnement de chanteurs ou encore la direction d’orchestre. Il se produit, en tant que pianiste, en récital dans des salles prestigieuses telles que le Concertgebouw d’Amsterdam, le Teatru Manoel à La Valette (Malte), le Théâtre du Jeu de Paume à Aix-en-Provence, le Couvent Royal à St-Maximin, l’Abbaye de Silvacane, la Salle Molière, l’Auditorium à Lyon et au grand théâtre DeSingel à Anvers. Il est invité à jouer en soliste avec l’Orchestre de Chambre de Toulouse ainsi qu’avec l’Orchestre de Chambre de Chisinau. Il participe épisodiquement à des émissions radiographiques ou télévisées en France (France Musique, France 3) et aux Pays-Bas.
Puisant la richesse de son univers musical dans la rencontre et le partage avec d’autres musiciens, Florian Caroubi se produit avec des interprètes réputés tels que le clarinettiste Nicolas Baldeyrou, les soprani Elsa Dreisig et Nadine Koutcher, le baryton Hans Pieter Herman ou encore le ténor Andrea Carè. Passionné en particulier par l’art vocal, il crée un duo avec la jeune et talentueuse mezzo-soprano Adèle Charvet, avec laquelle il remporte de nombreux prix internationaux, et se produit très régulièrement en France et à l’étranger. Dans cette même lignée, il est nommé lauréat HSBC 2016 du prestigieux festival d’Aix-en-Provence. Il participe en tant que chef de chant à de nombreuses productions d’opéra et collabore régulièrement avec l’Opéra de Saint-Etienne et l’Opéra de Lyon.
Cet automne 2017, Florian Caroubi sortira un CD de piano seul, intitulé « Images », dans lequel figureront des œuvres de Liszt, Moussorgski et Debussy inspirées par le rapport au visuel et en particulier à l’art pictural.

Alexandra Conunova
Lorsqu’elle reçut le Premier Prix au Concours de violon Joseph Joachim, à Hanovre, en 2012, Alexandra Conunova a obtenu les suffrages de la critique autant que du public.  La Hannoversche Allgemeine Zeitung écrivait en effet : « [Elle] montre de l’éclat dans la sonorité qu’elle donne  à sa musique. Son interprétation des Danses baroques de Bach est quelquefois presque sévère et pourtant merveilleusement chantante, voire véritablement dansante; dans la Bourrée, elle fait preuve d’un  haut degré de virtuosité. »
Durant la saison 2015-2016,  Alexandra participera à des concerts au Festival de Radio France, au Festival de Pâques d’Aix-en-Provence, au Festival d’été de Verbier, entre autres. Elle jouera avec la Camerata de Berne, l’Orchestre Philharmonique d’Erfurt, le Philharmonique de la Radio NDR et les Solistes de Moscou. Elle prévoit également une tournée au Japon en 2016.
Alexandra a remporté de nombreux Prix : notamment au Concours International de violon de Singapour (2015) ou au  Concours International George Enescu (2011); elle a également été distinguée par les Prix Tibor Varga (2010) et Ion Voicu (2009).  Elle a reçu le Prix Julius Bär pour l’artiste la plus accomplie de l’Académie du Festival de  Verbier, en 2013; ce prix s’est traduit par un récital en solo lors du Festival 2015.
Elle a joué avec des orchestres comme l’Orchestre Symphonique de Bucarest, le Mahler Chamber Orchestra, les Solistes de Moscou, l’Orchestre Symphonique de Nuremberg, le Verbier Festival Chamber Orchestra, l’Orchestre de Chambre de Vienne ou l’Orchestre Symphonique de Wuhan. Elle a collaboré avec des chefs tels que Yuri Bashmet, Teodor Currentzis, Andrew Matze et Gábor Takács-Nagy.
Alexandra est également fidèle à la musique de chambre. Elle collabore régulièrement avec des artistes comme Boris Brovtsyn, Gérard Caussé, Renaud Capuçon,  Blythe Teh Engstroem,  Yura Lee, Michail Lifits,  Andreas Ottensamer ou István Várdai, entre autres.
Alexandra Conunova est née en 1988, en République de Moldavie. Elle a commencé le violon à l’âge de six ans, a étudié d’abord à l’Université de Musique de Rostock, puis avec le professeur Krzysztof Wegrzyn à l’Université de Musique de Hanovre, enfin, avec le professeur Renaud Capuçon à la Haute École de Musique de Lausanne.  Elle a suivi plusieurs classes de maître avec Ivry Gitlis, Igor Oistrakh, Igor Ozim, entre autres. Elle joue régulièrement le violon vénitien Santo Seraphin daté de 1735, aimablement prêté par la Fondation pour la Vie Musicale allemande.

Isabelle Cottet
Née à Paris en 1990 de parents pianistes, Isabelle Cottet est initiée au piano dès l’âge de 5 ans. Trois ans plus tard, elle remporte ses premiers concours et à l’âge de 11 ans, elle est lauréate du concours « Münchner Klavierpodium der Jugend » et joue pour la première fois avec orchestre. D’autres prix, aux concours Prima la Musica en Autriche, Concours Medoc-Aquitaine et Concours Flame Paris s’ajoutent à son palmarès.
Elle étudie d’abord au CRR de Paris avec Olivier Gardon où elle obtient son Diplôme d’études musicales supérieures en 2009. Puis, attirée par la richesse culturelle de Berlin, elle décide de poursuivre ses études à la Universität der Künste dans la classe de Jacques Rouvier.
Au-delà du répertoire solo, Isabelle a toujours joué beaucoup de musique de chambre. Elle se produit aussi bien en soliste qu’en chambriste dans maintes salles d’Europe, entre autres à la Philharmonie de Berlin ou à la prestigieuse Salle Pleyel, Paris.
Sa curiosité musicale et son enthousiasme sont constamment stimulés au gré de ses rencontres : Isabelle prend part à de nombreuses master classes et reçoit des conseils de personnalités éminentes parmi lesquelles Elisabeth Leonskaja, Léon Fleisher, Bernd Goetzke,  Dmitri Bashkirov…
La fondation Paul Hindemith, et la Gisela und Erich Andreas Stiftung lui ont accordé des bourses. Isabelle participe régulièrement à des concerts de bénévolat organisés par l’Association Yehudi Menuhin – Live Music Now, le Lions Club et le Rotary Club.
Depuis 2016, Isabelle est directrice artistique du festival « Hommage à Menuhin » à Ville d’Avray comprenant concerts, films, master classes et exposition.

PROGRAMME:

Mozart – Extrait des Noces de Figaro, Rôle de la Comtesse : Porgi amor
Gounod – Extrait de Roméo et Juliette, Rôle de Juliette : Valse de Juliette, Je veux vivre
Bellini – Extrait d’I Capuletti ei Montecchi, Rôle de Juliette : Oh quante volte
Massenet – Extrait de Manon : Cour la Reine et Gavotte
Bizet – Extrait de Carmen, Rôle de Michaëla : Je dis que rien ne m’épouvante
Parish-Alvars – Introduction et Variations sur le thème de la Norma de Bellini (harpe seule)
Verdi – Extrait de Rigoletto, rôle de Gilda : Caro nome
Puccini – Extrait de la Bohème, Rôle de Musetta : Valse de Musetta
Puccini – Extrait de Gianni Schicci, Rôle de Nanetta : O Mio Babbino caro
Donizetti – Cadence de Lucia di Lammermor (harpe seule)
Puccini – Extrait de la Rondine, Rôle de Magda : Canzonne di Doretta
Dvorak – Extrait de Rusalka, Rôle de Rusalka : Hymne à la Lune

BIOGRAPHIES:

Julie Cherrier
Julie Cherrier intègre en 2006 l’Opéra Studio de l’Académie Sainte-Cécile à Rome, où elle reçoit l’enseignement de Renata Scotto.
Elle commence en 2007 sa carrière en France. Grâce aux conseils de Philippe Madrange, elle remporte le Tremplin lyrique de l’Est.
Elle est engagée pour des Carmina Burana au Théâtre du Châtelet, sous la direction de Patrizia Mezler.
En 2009, Julie Cherrier se produit à l’Opéra de Nancy (avec José Cura) dans le cadre d’un programme jeunes solistes.
A partir de 2011, la carrière de Julie Cherrier prend une dimension internationale. Remarquée par le pianiste et chef d’orchestre Philippe Entremont, qui devient son mentor, elle prend part à la tournée américaine de la Deutsche Staatsphilarmonie dans la Symphonie n°4 de Mahler.
Aux Etats-Unis de nouveau, elle prend part à une grande tournée de l’Orchestre symphonique de Munich au cours de laquelle elle chante le Requiem de Mozart, sous la baguette de Philippe Entremont.
2012 la conduit à se produire à la Manhattan School of Music (New York) pour un récital Mozart avec des airs de concert.
Remarquée par Alain Duault et Lucianno Acocella, elle participe à la grande émission « Musique en fête » au théâtre antique d’Orange.
En 2014, elle est invitée au prestigieux Festival « Meet in Beijing » de Pékin où elle sera accompagnée par l’Orchestre National de Chine.
Elle chante les Bachianas Brasileiras de Villa Lobos aux côtés de Yo Yo Ma et participera à la création à Paris du Requiem d’Antonio Santana.

Marion Desjacques
Née à Paris en 1982, Marion commence la harpe à l’âge de cinq ans.
En 1996, elle obtient un 1er prix au Conservatoire Supérieur de Paris-CNR puis entre au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, dans la classe d’Isabelle Moretti.
En 2004, elle obtient son diplôme mention Très Bien.
La même année, elle obtient la place de harpe solo de l’Orchestre Symphonique de Bilbao.
Elle participe à de nombreux concerts au sein de différentes formations de musique de chambre en France et en Espagne et accompagne régulièrement la chanteuse Julie Cherrier.
Elle collabore également avec de nombreux orchestres (Malaga, la Coruna, l’Orchestre de Chambre de St-Pétersbourg ainsi que l’Orchestre de Pau-Pays Béarn…).

PROGRAMME:
La Voix de l’Amazonie (violon et piano)
Rumôres da floresta (voix et piano)
Suite Brésilienne (violoncelle et piano): Toada, Lamento, Rala Bucho
Pastiche burlesque en forme de tarentelle (violon et piano)
L’Irrémédiable (Baudelaire – voix et piano)
La prophétie de Zarathoustra (piano solo)
Impression fugitive (violon solo)
Scènes Antiques (voix, violoncelle et piano): Voyageur solitaire, La caravane des pèlerins, Prière de l’oracle, Cérémonie initiatique dans le temple des vestales, Dans le temple de Vénus

BIOGRAPHIE:
Antonio Santana
Né au Brésil il obtient à l’age de 17 ans un 1^er prix de Piano, d’Histoire de la musique et d’Ecriture Musicale au Conservatoire Mario de Andrade à Sao Paulo.
Il donne des récitals dans plusieurs villes du Brésil en même temps qu’il se perfectionne avec Alfredo Cerquinho et Magda Tagliaferro, une des plus grandes pianistes du XXème siècle.
Il intègre en 1985 le Conservatoire Européen de Paris dans la classe d’Anna Stella Schic.
Il travaille également avec Françoise Levechin l’analyse et l’écriture musicale.
Soucieux de parfaire ses études théoriques il se penche sur le Traité de Composition de Vincent D’Indy ainsi que sur les Traités d’orchestration de Berlioz et de Rimsky Korsakov.
Il faudra attendre 1994 pour qu’il couche sur le papier sa cantate Un Chant pour la Planète, pour grand chœur, solistes et orchestre. Cette œuvre émouvante et inspirée a été interprétée à plusieurs reprises à Paris, en province et à l’étranger, avec un immense succès auprès du public.
Il aura fallu qu’il mette de côté son désir de carrière pianistique pour laisser enfin jaillir toute la musique qui habitait en lui depuis sa plus tendre enfance et à laquelle il n’a jamais prêté l’oreille. Littéralement envahi par des idées musicales il compose sans relâche sans se soucier d’une esthétique quelconque se laissant guider uniquement par sa voix intérieure. Curieux de nature, il s’intéresse également à la Philosophie, à l’Histoire et à la Théologie ainsi qu’à la découverte des civilisations à travers le monde dans un souci d’épanouissement artistique.
Amoureux de la voix, il met en musique des poèmes de Baudelaire, Verlaine entre autres ainsi que des mélodies inspirées des paysages brésiliens pour soprano et piano.
Parmi ses œuvres on peut citer encore : Rapsodie aux portes du désert pour ténor et orchestre à cordes, Cycle Antique pour contralto, violoncelle et piano, Suite Brésilienne pour violoncelle et piano, Pastiche burlesque en forme de Tarentelle pour violon et piano, Cycle Mystique pour piano solo, Miroir de femmes douze pièces pour mezzo soprano et piano, Miniatures en deux volumes pour les jeunes pianistes, Cantate Evolution pour chœur, soprano, deux harpes, piano et percussion, et bien d’autres pièces pour violon ,violoncelle, flûte et voix. Sur sa table de travail, on trouve un Opéra…
Les 1er et 3 juin 2014 le Requiem Chant de lumière, écrit en hommage aux victimes de la catastrophe aérienne Rio-Paris, a réuni 300 choristes et l’Orchestre Français d’Oratorio avec la soprano Julie Cherrier et le baryton Jean-Louis Serre sous la baguette de Jean-Pierre Lo Ré en création mondiale.
Le 30 avril 2015 est sorti le CD Voyages avec des œuvres pour piano, violon,violoncelle avec Anton Martynov violon, Daniel Propper piano et Mark Drobinsky violoncelle .
Antonio Santana a l’occasion de collaborer avec des interprètes de renommée internationale. Sa rencontre avec le biologiste marin Pierre Mollo, spécialiste du Plancton, donne naissance à un projet ambitieux autour d’une Suite Symphonique dédiée à la Mer.
Cette œuvre a pour vocation la fusion de la musique et de la haute technologie.

 

BIOGRAPHIE:
Julien Brocal
Né le 23 mai 1987 en Arles, Julien est très attiré par la musique, bien que n’étant pas issu d’une famille de musiciens. A 5 ans, il commence l’apprentissage du  piano.
A 7 ans, il obtient sa première récompense pianistique à Paris, salle Cortot, avec un premier Prix dans sa catégorie au Grand Concours International de Piano Marguerite Canon, qu’il remportera également les quatre années suivantes dans les niveaux supérieurs. Sergueï Kouznetsov et Svetlana Eganian, concertistes et  membres du jury, ont remarqué le talent et la progression du jeune pianiste, et l’ont vivement encouragé à intégrer un conservatoire national de région.
Ainsi, il entre en 1998 au Conservatoire National de Région Pierre Barbizet de Marseille dirigé par Phillip Bride dans la classe de Jacqueline Apchié, élève de Pierre Barbizet, puis dans la classe d’Erik Berchot, lui-même élève de Germaine Mounier.
Cinq ans plus tard, il obtient le premier prix au Concours Steinway and Sons jeunes talents préparé avec Nathalie Lanoé, élève de Pierre Barbizet et professeur au CNR de Marseille.
À la fin de son cycle d’études, il reçoit le Premier prix de formation musicale dans la classe de Mireille Bonacier. En 2006,  il obtient simultanément le Premier Prix de piano à l’unanimité, le Premier Grand Prix de la Ville de Marseille dans la classe d’Erik Berchot,  le Premier prix de Musique de Chambre dans la classe de Florent Brémont ainsi que le Diplôme d’Études Musicales grâce à ces trois récompenses. La même année, il est sélectionné comme soliste pour le concert du Palais Longchamp avec l’orchestre symphonique du Conservatoire de Marseille sous la Direction de Phillip Bride.
Durant toutes ces années il se perfectionne dans la classe de déchiffrage de Philippe Gueït, dans la classe d’accompagnement de Pierre Morabia.
Sur les conseils de son maître, Erik Berchot, il entre en 2007 à l’Ecole Normale de Musique de Paris grâce à la bourse de la Fondation Zaleski. Il est lauréat du Diplôme Supérieur d’Exécution dès sa première participation en 2008.
Il est admis cette même année au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il est également sélectionné par la Société Chopin pour se produire à Paris en juin 2008 au Festival Chopin de Bagatelle dans le cadre des « Journées portes ouvertes jeunes talents ».
En Décembre 2008, il obtient un diplôme de fin de cycle de Perfectionnement du CNR de Marseille dans la classe d’Erik Berchot et, en février 2009, il décroche une médaille d’or à l’unanimité avec les félicitations du jury, 1er nommé, au 4ème Concours International de Lagny-Sur-Marne dans le niveau Excellence.
Durant toute sa formation, il recherche l’avis de grands maîtres et a suivi les «Master Class» de Nathalie Seror Nakash, Tön-That-Tiet, Liouba Timofeyeva, Patricia Thomas, Bruno Riguto…
Lauréat de la bourse Lions Club en 2007, il intègre l’Université d’Eté Lions de la musique pour étudier avec Eugène Moguilevski.
Julien possède également des talents de compositeur et, bien qu’il n’écrive qu’à ses heures perdues, il est vivement encouragé par ses professeurs et ses auditeurs à poursuivre dans cette voie.
Actuellement, il continue ses études musicales à l’Ecole Normale de Musique de Paris dans la classe d’Erik Berchot, en vue du Diplôme de concertiste, et s’est produit à l’Ambassade de France à Rome en mai dernier, à la demande du directeur de l’Ecole Normale Musique de Paris et de la Fondation Zaleski.